Après le choc culturel, qui fut très vite dépassé, je me suis mis à aimer, à aimer ces gens, cette terre, ces rencontres, cette hospitalité africaine...
Faire de l'humanitaire n'est pas uniquement aller vers les autres. Certes, on aide là-bas, chacun à son niveau, chacun avec ses compétences...
Mais surtout, ce sont eux, les gens que l'on est censé "aider", qui pour ma part, m'ont repositionné dans mes convictions à aimer l'essentiel...
Aider les autres, c'est d'abord s'aider soi-même...